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16 février 2023 Habert de Chamechaude Les Emeindras (Chartreuse)
carte IGN 3334 OT (massif de la Chartreuse SUD) Départ : Le Sappey-en-Chartreuse (parking à 991 m) Destination : le Habert de Chamechaude (point haut à 1580 m), col de l’Emeindras (1372 m) et l’Emeindras de dessus (1422 m) ce qui fait un dénivelé positif cumulé de 670 m pour la randonnée de 11 km Depuis Brié (25 km, 40 mn) : Corenc, le Sappey-en-Chartreuse ; tourner à droite juste avant l’église, puis prendre à droite la route qui descend vers le grand parking à proximité du foyer du ski de fond (lieu-dit La Charmette). La randonnée : Conditions : ciel dégagé ; temps très ensoleillé ; + 4° au départ à 9 h crampons nécessaires car de nombreuses plaques de glace sur les pistes pentues et neige dure aux Emeindras Revenir 50 m sur la route goudronnée et prendre à droite le chemin de terre en direction de Jaillères ; on rejoint alors la route qui traverse le hameau ; continuer sur la piste forestière englacée vers le haut en direction du lieu-dit Le Bruchet (km 1). Laisser à droite la route en direction des Emeindras et continuer sur la piste du GR9 GR de Pays Tour de Chartreuse en direction du Habert de Chamechaude : montée régulière très soutenue en forêt jusqu’au point coté 1397 ; poursuivre alors sur le petit sentier qui va faire de nombreux lacets pour rejoindre en limite de forêt le habert de Chamechaude (1572 m). Continuer pleine pente jusqu’au panneau indicateur (1580 m, le point haut de la randonnée). Profiter de la pause pour apprécier la masse imposante de la falaise est de Chamechaude (sommet à 2082 m). Continuer sur le GR qui part à droite (plein nord) en direction du col de l’Emeindras : tout d’abord une piste assez tranquille, souvent à flanc avec la traversée de belles pentes ; pas de risques ce jour, vu la faible quantité de neige. Poursuivre par de petits lacets descendants jusqu’au col de l’Emeindras (passage par un point bas à 1372 m au km 5). Par une trouée entre les arbres, on aperçoit le sommet du Grand Som vers le nord (2026 m). Encore une petite montée bien pentue avant d’atteindre le grand alpage de l’Emeindras de dessus. Se diriger vers les bâtiments d’alpage pour la pause piquenique en plein soleil. Jonction avec le groupe G1 qui a suivi le même itinéraire et s’est permis une petite extension vers le haut de l’alpage pour la vue en crête (cote 1491 m) sur la vallée du Grésivaudan, les sommets des Sept-Laux et vers le nord le Mont Blanc. Pour le retour, descendre vers le bas de l’alpage et rejoindre la large piste qui par d’abord vers le sud puis revient vers le nord-ouest pour atteindre l’alpage peu enneigé des Emeindras de desous (avec ses ruines). Poursuivre maintenant plein sud par la large piste en direction du Sappey jusqu’à la cote 1227. Au lieu de rejoindre directement le Bruchet (km 1), repérer la piste qui revient plein nord et rejoint le fond du vallon des Emeindras (vers 1100 m). Retour tranquille sur plus de 2 km vers le parking du Sappey (991 m). Le tracé de la randonnée sur openrunner d’après nos données Gps et son profil altimétrique
Quelques photographies
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Belle montée régulière en direction du habert de Chamechaude (1572 m) Merci à Thierry et à Patrice pour la reconnaissance de la randonnée et pour l’accompagnement des 2 groupes |
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Les randonnées déjà effectuées dans ce secteur de Chartreuse, au départ du Sappey La randonnée raquettes du 2 avril 2009 : les Emeindras, puis le habert de Chamechaude La randonnée raquettes du 29 janvier 2015 Les Emeindras La randonnée du 27 janvier 2022 (avec crampons) : montée directe vers les Emeindras (570 m, 10,5 km) |
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Chamechaude et sa falaise de calcaire massif dominant les maisons du Sappey-en-Chartreuse |
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Le habert de Chamechaude, abri ouvert (1572 m), au bas des éboulis stabilisés venant de la falaise de Chamechaude |
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La falaise orientale de Chamechaude (sommet à 2082 m, point culminant de la Chartreuse), un reste en forme de pupitre de calcaire urgonien ; on distingue les strates très érodées (épaisseur environ 500 m) Pour quelques informations, la page geolalp ; la dalle de Chamechaude forme la moitié d’un synclinal perché |