19 septembre 2019 Refuge de l’Alpe du Pin // Refuge du Soreiller (Oisans)
G1 Refuge du Soreiller (en boucle) (G2 Refuge de l’Alpe du Pin) Carte IGN 3336 ET Les Deux Alpes P. N. des Ecrins et aussi 3436 ET Meije pour les sommets de la haute vallée du Vénéon Départ : parking des Etages (parking à 1616 m) 500 m avant La Bérarde Destination : Refuge du Soreiller (2719 m) en boucle ce qui fait un dénivelé positif cumulé de 1200 m environ pour le circuit de 10 km. Depuis Brié : Vizille puis N91 jusqu’à Bourg d’Oisans ; puis vallée du Vénéon en direction de La Bérarde ; 500 m avant le bourg, s’arrêter au parking des Etages. Le tracé de la randonnée et le profil altimétrique (Gps de Pierre) :
Du parking des Etages, revenir sur la route sur près de 1 km à la cote 1572 m. Prendre ici le sentier en direction de la cascade du ruisseau d’En Bas. Au km 3, le sentier part vers le sud pour monter sur le relief entre le ruisseau d’En Bas et le ruisseau du Soreiller. Poursuivre la montée assez régulière jusqu’à un col vers 2763 m. Sur toute la montée souvent hors-sentier, bien repérer les cairns dans les pierriers. Le sentier amorce alors une descente en direction du refuge du Soreiller (2719 m) situé sous l’Aiguille Dibona. Pause piquenique face à la Dibona. Le retour se fait par le tracé classique qui emprunte le vallon du ruisseau du Soreiller. Eviter le retour par l’itinéraire de montée en raison de passages délicats. On rejoint la route de la Bérarde à la cote 1594 m, route que l’on suit vers le hameau des Etages. Retour au parking.
La randonnée du 5 septembre 2013 et quelques informations géologiques sur la région : Le massif du Soreiller : amphithéâtre d’anciens cirques glaciaires, avec l’explication de l’imposante face triangulaire de l’Aiguille Dibona Le vallon des Etages et la Tête des Fétoules ( sur l’autre versant du Vénéon, que l’on voit depuis le Soreiller)
Quelques photographies (prises par Patrice)
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Belle montée régulière sur plus de 1200 m de dénivelé (1572 m à 2763 m) |
Le refuge du Soreiller dominé par l’imposante falaise de l’Aiguille Dibona (photo Mireille, 1973) On voit nettement les grandes plaques de granite débitées par des fissures (diaclases) |